Au coucher du soleil dans une station essence, un chat blanc parcours son territoire en exprimant ses pensées. Son double robotique le prévient d'un danger et une série d'évènements se succèdent où le rêve semble se confondre avec la réalité.
Be Maybe May
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Dans un univers parallèle où le pavillon allemand de Mies Van der Rohe est transformé en station-service au milieu du désert, un chat blanc mène une vie paisible. Son quotidien est jalonné d’habitudes et il s’en accommode parfaitement. Un inquiétant compagnon, comme un double maléfique, le prévient d’une menace imminente et la réalité semble tout autre : les grappes de raisin posées sur un banc s’évaporent par enchantement, appelant l’arrivée menaçante d’un poisson fugu géant. Le marbre devient acier, le verre devient tissu, la brique devient bois.
De ces phénomènes inexpliqués, le chat palabre librement dans un verbiage lunatique et désinvolte, il est résolu à se situer à la frontière de la réalité et de la fiction. Une quête d’identité tragi-comique, à la croisée des mondes surréalistes de Lewis Carroll, des lumières d’Edward Hopper et des mèmes de l’ère post-digitale.
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