En amour est une expérience immersive et interactive, à l’intersection du spectacle vivant, de la performance et de l’installation d’arts visuels.
Cette œuvre offre la possibilité de vivre une métamorphose symbolique autour du thème de l’amour et de la séparation. Sa narration prend sa source dans une histoire intime, pour s’ouvrir à plus grand, et partager un parcours de sensations, d’émotions, de formes, de couleurs, de sons et de mots qui viendraient réveiller, déglacer, muscler notre amour à toutes et tous.
En Amour
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Cette œuvre offre la possibilité de vivre une métamorphose symbolique autour du thème de l’amour et de la séparation.
Sa narration prend sa source dans une histoire intime, pour s’ouvrir à plus grand, et partager un parcours de sensations, d’émotions, de formes, de couleurs, de sons et de mots qui viendraient réveiller, déglacer, muscler notre amour à toutes et tous.
En restant fidèles à notre univers esthétique minimaliste et épuré, pour En amour, nous entrons également dans la couleur comme outil dramaturgique.
C’est la course du soleil et les météores lumineux, produits par la réfraction et la réflexion de la lumière, qui sont notre source d’inspiration principale pour imaginer cette partition de couleur : nuit, aube, aurore, lever, zénith, coucher, heure bleue, crépuscule... et participent à faire ressentir la dimension cyclique, symbolique et rituelle de l’expérience.
L’image et la musique, composée par Laurent Bardainne, sont reliées de manière synesthésique, dans une partition commune de quarante minutes portant une narration, permettant de voir la musique et d’entendre l’image. Épousant finement l’énergie musicale, les images projetées sont composées en hybridant des mouvements de particules génératives et des captures vidéos réalistes retravaillées.
Le public en mouvement est immergé dans l’image et la musique spatialisée, au cœur d’une grande pièce où une partie du sol est surface de projection. Plusieurs écrans prolongent l’image à la verticale.
Une partition visuelle statique (identique à chaque représentation) est combinée à une partition visuelle dynamique (unique à chaque représentation) dans laquelle le public est invité à prendre part : les images sont modifiées par sa présence et son mouvement, grâce à un réseau de caméras infra rouge et la fine analyse de leur signal.
Le corps du public est une composante de l’œuvre. Déambulant, pieds nus, dans cet environnement sensible et réactif, l’invitant à expérimenter différentes postures: geste simple, immobilité, marche, ou mouvement sophistiqué, interaction avec les images sont autant de postures possibles et justes, sans hiérarchie, qui cohabitent dans cet espace, et lui donner sens.
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