Eniarof est une fête foraine revisitée, une plate-forme expérimentant d’autres modes d’interaction avec le public. Elle interroge ce que serait aujourd’hui une fête foraine avec les mêmes critères d’innovations ludiques qu’avaient les fêtes foraines du siècle passé et qui ont vu naître le cinéma, les ascenseurs ou encore la barbe à papa.
Eniarof
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Les créateurs de chaque Eniarof s’inspirent des cultures populaires anciennes et émergentes autour des règles du « Dogmeniarof ». S’y rencontrent joyeusement et sans complexes des domaines telles que le karaoké, la lucha libre, les jeux vidéo, les installations et performances artistiques, le gore et le cabinet de curiosités pour donner naissance à un sympathique, mais éphémère, monstre à têtes, uniquement définissable sous la dénomination « cette Chose que l’on nomme Eniarof ».
À l’initiative d’Antonin Fourneau en 2005 quand il était étudiant à l’Ecole Supérieure d’Art d’Aix- en-Provence sous la direction de Douglas Edric Stanley, l’événement s’est renouvelé jusqu’à aujourd’hui aussi bien en France qu’à l’étranger à raison de parfois plusieurs édition par an.
De nombreux artistes transdisciplinaires ont participé sur différentes éditions : Niklas Roy, Florent Deloison, Sophie Daste, Jérémie Cortial, Boštjan Čadež, Raphaël Isdant, Jankenpopp, Kati Hyyppä, Manuel Braun, Onur Sönmez, … Eniarof est l’occasion de concevoir de nouveaux projets différemment grâce à des workshops organisés en amont de chaque évènement. La fête foraine étant l’acmé, l’aboutissement de ces semaines de préparation intenses.
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