L'installation Transfert traite des connexions virtuelles entre les mondes à travers le nuage de points. Ces nuages de points s’animent pour laisser place à une connectivité rêvée entre les espaces où nous passons sans transition, du cœur urbain de Pékin aux réseaux souterrains de Paris. Transfert s’apparente à un rêve, celui d’une translation possible entre la science et l’art où sans réduire l’un à l’autre nous pourrions naviguer sans discontinuité entre les deux territoires.
Transfert
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“Leur façon de ne pas me comprendre n’était pas la même que celle que j’avais de ne pas les comprendre” Roy Wagner
L'œuvre Transfert traite des connexions virtuelles entre les mondes à travers le nuage de points. Ces nuages de points s’animent pour laisser place à une connectivité rêvée entre les espaces où nous passons sans transition, du cœur urbain de Pékin aux réseaux souterrains de Paris. Transfert s’apparente à un rêve, celui d’une translation possible entre la science et l’art où sans réduire l’un à l’autre nous pourrions naviguer sans discontinuité entre les deux territoires.
Un univers où l’ensemble des positions sont instables. Ce n’est que proche de l'œil virtuel de la caméra que le monde s’équilibre selon une organisation perspectiviste stable. C’est la position du regard de la caméra qui provoque l’organisation de l’espace, un espace qui est lui-même en train de varier en permanence. C’est à partir de notre position relative que nous pouvons consolider un monde en transformation sans jamais le saisir entièrement.
Transfert est le produit d'une collaboration avec le scientifique chinois Gao Feng. Il a pu réaliser une photogrammétrie en trois dimensions d'un quartier de Pékin. De notre côté, nous avons réalisé plusieurs scans de lieux parisiens : métro, couloirs, etc... Une fois connectés, c'est un pont digital imaginaire qui s'anime entre la Chine et la France.
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