70 producteur·ices indépendant·es engagé·es sur le terrain de la production nouveaux médias se regroupent au sein de l’association “PXN, Producteur·ices d’Expériences Numériques” pour œuvrer à la mutation numérique des industries culturelles et créatives françaises.
PXN entend :
• Participer à l’évaluation des stratégies du développement numérique des diffuseurs audiovisuels et radiophoniques du service public,
• Encourager les pouvoirs publics à redéfinir sensiblement les moyens accordés à la création numérique,
• Apporter sa contribution à la redéfinition des systèmes d’aides à la création numérique existants au sein du Centre National du Cinéma et de l’image animée et des fonds de soutien régionaux, ainsi que ceux définis au niveau européen,
• Appuyer le travail accompli par les syndicats de la production audiovisuelle sur le terrain du numérique,
• Accompagner la formation et le maintien sur le territoire français des talents de ce secteur (auteur·ices, graphistes, webdesigner·ses, développeur·ses, concepteur·ices, etc.),
• Défendre le statut d’œuvres patrimoniales des créations numériques et protéger les droits de leurs auteur·ices,
• Renforcer la visibilité de l’excellence française à l’international.
Les producteur·ices indépendant·es engagé·es sur les nouveaux médias et réunis au sein de PXN - Producteur·ices d’Expériences Numériques explorent tous les genres, toutes les formes et toutes les plateformes : la fiction, le documentaire de création, l’animation, le magazine, le spectacle vivant, le jeu vidéo, les applications mobiles, la réalité virtuelle, les dispositifs participatifs sur le web… et même la télévision. La vocation de l’association PXN est de veiller activement, et par tout moyen, à la mutation numérique des industries culturelles et créatives.
La France a été pionnière en matière de création sur les nouveaux médias.
Depuis 2007, des initiatives ont été mises en place au CNC, à France Télévisions, chez ARTE ou Radio France, favorisant les conditions de renouvellement de l’industrie audiovisuelle.
Aujourd’hui, ces investissements doivent être démultipliés.
Vive la création numérique !