Nicolas Clauss

Début d'activité : 2000
Une personne

Nicolas Clauss utilise principalement la vidéo et la programmation. Son travail ne cesse de questionner la Figure Humaine en prenant pour terrain d’expérimentation l’image filmée et ses modes de déploiement dans le temps et dans l'espace. Ces modes d’exploration de l'image s’appuient sur des écritures algorithmiques.

La vidéo devient un paysage en mouvement, sans début ni fin, où la temporalité est dilatée, où l'image filmée s'éloigne de sa direction première pour s'aventurer vers d'autres possibles. Pour nommer ce travail, il parle de vidéographies aléatoires.

En 2011 Nicolas Clauss crée Terres arbitraires, installation pour 300 portraits et 30 écrans qui se prolongera au théâtre avec Illumination(s) d'Ahmed Madani. En 2012 création de la pièce Fès, qui inaugure le cycle des vidéographies aléatoires. En 2014 commence la série de portraits en mouvement, Endless portraits, prenant pour modèle des inconnus mais aussi des personnalités tels que Philippe Katerine, Maguy Marin, ou encore Denis Lavant. Suivront Agora(s) (2015), Les Traversants (2017), Frames (2018) ou encore Endless Landscapes (2020)

Son travail a été exposé et primé de nombreuses fois : en France (Centre Pompidou - CENTQUATRE-Paris - Espace Paul Ricard, le Lux - Valence, la Filature - Mulhouse,  la Condition Publique - Roubaix) et à l'étranger (Nuit Blanche Bruxelles, MAMBO - Bogotá, Museo Tamayo - Centre Pompidou Malaga, Espagne -  Mexico, Museo de Antioquia - Medellin, Seoul Museum of Art, Ars Electronica - Linz, Millenium Art Museum - Beijing,  National Museum of Contemporary Art - Wroclaw Pologne).

Contact
http://www.nicolasclauss.com/
Marseille (13004), France
Je parle Français, Anglais
Mise à jour : 20/01/2023
 
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