“Nous ne sommes pas des artistes avec un grand « A » d’ailleurs, nous ne nous définissons pas individuellement en tant qu’artiste, bien que l’on revendique le fait que Scale produit des œuvres. En effet, aucun des membres de Scale ne provient d’une grande école d’Art. Nos parcours scolaires et professionnels sont plus techniques. Chez nous, c'est la culture du câble et du fer à souder qui domine.”
Scale puise ses inspirations aussi bien dans le monde de l’art contemporain que celui d’une culture pop, grand public, décomplexée. L’univers de Star Wars fascine le collectif autant que Vasarely et celui des jeux vidéo autant que l’art moderne.
« C’est en nous rassemblant, sous un même nom, que nous pouvons aujourd’hui prétendre défendre un langage artistique intime.”
Depuis ses débuts, le collectif Scale se questionne sur les liens qui unissent la musique et le visuel, la lumière et le design architectural, le divertissement et l’art contemporain, la nature et le futur, l’homme et la machine. C’est en cherchant qu'il tente d’apporter des réponses, synthétisées à travers des installations mélangeant plusieurs médiums.
Que cela soit le motion design, la recherche, le développement, le mapping, le design led, l’interactivité, la robotique, la programmation, toutes ces maîtrises technologiques sont au service d’une proposition artistique. Au fils des années et des créations pour les scènes musicales festives ou pour les environnements muséographiques, Scale a développé son propre langage pour créer des œuvres sensitives, ludiques, accessibles au plus grand nombre et avec un attachement particulier à ne jamais cesser d’innover.