LIID (Laboratoire d’Ingénierie d’IDées) est né en 2000 d’une volonté de l’artiste-chercheure Raphaële Bidault-Waddington d’explorer la frontière de l’art et de la connaissance (art post-conceptuel), d’interroger la place et la contribution de l’art à la fabrique du monde, et d’expérimenter des collaborations avec des organisations (dans la lignée d’artistes tel que Fabrice Hyber, Paul Devautour, ou John Latham).
Au fil du temps, LIID, renommé LIID Future Lab en 2016, est devenu une plateforme de recherche prospective à la croisée des sphères culturelle, académique, urbaine et économique, travaillant avec de nombreuses structures en France et à l’étranger (et parfois avec le soutien de l'IF).
LIID Future Lab développe également des futur labs de R&D. De 2008 à 2017 Il a porté un lab sur le futur du Grand Paris, lauréat de plusieurs bourses de recherche académique, et comprenant une longue série de conférences, publications, ateliers et expositions en France et à l’étranger.
De la même manière, LIID développe depuis 2017 le lab Mondes Futurs, prospective d’une refondation anthropologique et épistémologique (paradigme de l’Anthropocène, IA, Post-vérité, ère post-coloniale, etc.), et explore comment concevoir de nouveaux mondes futurs (world-building).
LIID peut contribuer à divers types de programme (rencontre, exposition, programme pédagogique, projet urbain ou à impact, collaboration innovante avec un partenaire, etc.), comme à leur conception pour leur donner une dimension prospective.
Dans le cadre de son lab Mondes Futurs, LIID propose un petit module itinérant (masterclass, panel et/atelier) que le réseau des Institut Français peut programmer et adapter à son contexte.
Références : Musée d’Art et Histoire de Genève, Fondation LUMA Arles, Villes de Genève, Montevideo, Copenhague, CNRS, Center for Molecular Medicine (Stockholm), UNESCO, Institute for the Future (Palo Alto), Aalto University (Helsinki), Parsons School (Paris et NY), Groupe Galerie Lafayette, etc.
Raphaële Bidault-Waddington est membre de plusieurs réseaux internationaux tel que le UNESCO Global Foresight Network, le New Club of Paris (experts en économie de l’immatériel et politique d’innovation).