Maraya Arrouh (miroirs de l’âme) est une hybridation entre le corps et le numérique, la danse et l’image interactive, au service d’une spiritualité partagée, un visage de réponse, un remède imaginé face aux maux du monde.
Maraya Arrouh (Miroirs de l'âme)
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Le projet "Maraya Arrouh" est né d'une collaboration entre la Cie K. Danse (Jean-Marc Matos), basée en France (Toulouse) et la Cie Col'jam (Ahlam El Morsli, Wajdi Gagui) basée au Maroc (Casablanca). Il se fonde sur une fusion de l'approche chorégraphique d'Ahlam El Morsli et Wajdi Gagui avec les propositions artistiques du chorégraphe Jean-Marc Matos et de l'artiste numérique Arnaud Courcelle, articulée autour de résidences d'artistes à Casablanca, à Tétouan (2021), et au CDC La Termitière de Ouagadougou (Burkina Faso), en 2022.
Chorégraphes : Ahlam El Morsli, Wajdi Gagui et Jean-Marc Matos
Danseurs : Ahlam El Morsli & Wajdi Gagui
Artiste numérique : Arnaud Courcelle
Production et diffusion : Majid Seddati
Le spectacle, très inspiré de l'approche sprituelle propre au Soufisme, traverse aussi les relations homme-femme et propose, dans sa forme hybride, la complète intégration d'une danse hautement expressive avec une scénographie numérique qui magnifie et accompagne au plus près la mise en scène chorégraphique.
Le projet, dans sa globalité, propose :
- une création commune danse-technologie (danse, musique, image, scénographie interactive)
- la mise en commun d'expertise professionnelle
- des résidences de création partagées entre Casablanca et Toulouse
- de la médiation sur la culture chorégraphique et numérique, animée dans les deux pays
La première forme a été créée pour le Festival FIAV en novembre 2021, au Théâtre de l’Institut français de Casablanca.
Cette création peut faire l'objet d'un atelier.
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