Stéphane Bissières s'intéresse à la représentation des données et la matérialisation du virtuel afin de traduire les transformations brutales et profondes que subit la société, mais aussi pour provoquer l’émerveillement et l’interrogation chez l’observateur, pour lui procurer le sentiment d’être un témoin.
Il trouve l’inspiration dans les modèles mathématiques et l’observation de leurs expressions dans la nature, il transpose des mécanismes d’écriture musicale à ses créations cinétiques en envisageant cette écriture sous forme d’algorithmes plus que de partitions. Il développe ainsi une approche générative pour explorer la notion de vie artificielle en construisant des systèmes dynamiques capables de générer d’infinies variations avec un caractère commun reconnaissable, tel un code génétique.
Contemporary art museum de Shenzhen (Chine), The Exchange Gallery (Falmouth, Royaume-Uni), Station Beirut (Liban), Nuit Blanche (Paris, France) galerie Plateforme (Paris, France), Le Cube (Issy-Les-Moulineaux, France), Biennale Némo (Le CENTQUATRE-PARIS, France), etc.
Festival de Cannes (France), Solidays, (Paris, France), Petit Palais (Paris, France), Nouveau Casino (Paris, France), Cité des Sciences (Paris, France), Nuit Blanche (Bruxelles, Belgique), Moscow Arts center (Russie), Plug (Sheffield, Royaume-Uni), Amber (San Francisco, États-Unis), The Grand (Oakland, États-Unis), Modern (Vancouver, Canada), etc.