Nous travaillons avec différentes institutions publiques (Institut Français de Dakar, Conseil de l’Union européenne, Région Occitanie, Alliance Française du Costa Rica…), des acteurs du monde de la culture (Maison des Métallos, Mabel Octobre, Ministère de la Culture via l'Office nationale de diffusion artistique), et de l'entreprise (Chanel, Caisse d'Épargne, La Poste…). Nous enseignons en université et école (Sciences Po, Ponts et Chaussées et ESCP), afin d’aider les individus et les organisations à questionner le numérique pour le repenser. Afin d'imaginer un numérique plus aligné avec des valeurs, plutôt qu'une pâle copie du numérique de la Silicon Valley. Un numérique sobre, durable, désirable et culturellement ancré plutôt qu'un numérique obsedé par la rapidité et la performance : le toujours plus. Nous sommes désireux d'explorer des sujets différents, comme nous avons pu le faire avec l'Institut Français de Dakar pendant Novembre Numérique (Qu'est-ce qu'un numérique culturellement sénégalais ?), ou l'Institut Français d'Aarhus pendant la Nuit des Idées (Souveraineté numérique). Nous avons en 2024 travaillé sur l'impact des intelligences artificielles génératives sur les processus créatifs et les industries créatives, sur la création de couleurs numériques et au lancement d'un objet physique : une capsule temporelle.